Je débute mon billet hebdommadaire en vous informant que, pour une raison que j'ignore, je semble incapable de répondre à vos commentaires. J'espère que ce problème sera fixé lorsque l'Internet sera installé sur mon nouvel ordinateur.
Parce que j'ai enfin reçu cette grosse machine effrayante mercredi dernier. Esthétiquement parlant, il est magnifique et trône comme un roi sur mon bureau. L'installation fut facile, je n'ai eu qu'à le brancher. Quand je pense à mon vieux PC où il a fallu y insérer un nombre infini de disquettes pour qu'il devienne fonctionnel ! La qualité d'image s'avère impeccable, tout comme le son. Plusieurs DVDs seront visionnés avec cet appareil.
Le destin a voulu que le Festival des Nouveaux Cinémas tombe en même temps que ma mi-session. Impossible de voir plusieurs films présentés à cause de la pile de travail qui ne semble pas vouloir disparaître. Travaux qui, en passant, se font dans un intérêt définitivement relatif. L'un d'eux porte sur La Divine Comédie de Dante, texte fascinant pour lequel j'ai énormément d'admiration. Le problème d'affronter un monstre littéraire comme ce poème est le nombre immense de prédécesseurs l'ayant étudié. J'ai de la misère à croire que, dans l'océan composant les études sur le poème italien, aucun article ne reprenne ma thèse avec exactitude. Quand on nous demande de trouver une problématique originale tout en nous obligeant de demeurer dans le grand panthéon littéraire, il y a de quoi se fracasser la tête contre les murs. Au moins, je ne rédige pas un mémoire de maîtrise, mais un petit travail bidon qui se méritera une bonne note si la mise en page est belle.
Une question se pose néanmoins, faut-il continuer d'étudier Dante quand tellement d'autres l'ont fait à notre place ? Pourquoi ne pas se contenter de simplement le lire ? Les chercheurs ne devraient-ils pas se tourner vers des terrains vierges et obscures sans avoir Virgile pour les guider ?
Bizarrement, l'intérêt véritable de faire des travaux scolaires demeure les réflexions de la sorte naissant de mes recherches, réflexions qui, malheureusement, n'ont rien à voir avec la question demandée par l'enseignant.
Parce que j'ai enfin reçu cette grosse machine effrayante mercredi dernier. Esthétiquement parlant, il est magnifique et trône comme un roi sur mon bureau. L'installation fut facile, je n'ai eu qu'à le brancher. Quand je pense à mon vieux PC où il a fallu y insérer un nombre infini de disquettes pour qu'il devienne fonctionnel ! La qualité d'image s'avère impeccable, tout comme le son. Plusieurs DVDs seront visionnés avec cet appareil.
Le destin a voulu que le Festival des Nouveaux Cinémas tombe en même temps que ma mi-session. Impossible de voir plusieurs films présentés à cause de la pile de travail qui ne semble pas vouloir disparaître. Travaux qui, en passant, se font dans un intérêt définitivement relatif. L'un d'eux porte sur La Divine Comédie de Dante, texte fascinant pour lequel j'ai énormément d'admiration. Le problème d'affronter un monstre littéraire comme ce poème est le nombre immense de prédécesseurs l'ayant étudié. J'ai de la misère à croire que, dans l'océan composant les études sur le poème italien, aucun article ne reprenne ma thèse avec exactitude. Quand on nous demande de trouver une problématique originale tout en nous obligeant de demeurer dans le grand panthéon littéraire, il y a de quoi se fracasser la tête contre les murs. Au moins, je ne rédige pas un mémoire de maîtrise, mais un petit travail bidon qui se méritera une bonne note si la mise en page est belle.
Une question se pose néanmoins, faut-il continuer d'étudier Dante quand tellement d'autres l'ont fait à notre place ? Pourquoi ne pas se contenter de simplement le lire ? Les chercheurs ne devraient-ils pas se tourner vers des terrains vierges et obscures sans avoir Virgile pour les guider ?
Bizarrement, l'intérêt véritable de faire des travaux scolaires demeure les réflexions de la sorte naissant de mes recherches, réflexions qui, malheureusement, n'ont rien à voir avec la question demandée par l'enseignant.
1 commentaire:
T'es drôle (dans le bon sens du terme). J'ai un bac en littérature pis je n'ai jamais eu ce complexe des autres avant moi. Je dois avoir une maudite tête enflée... Mais je crois qu'à l'époque (peut-être contrairement à maintenant hihihi) c'était surtout de l'insouciance. Il me suffisait de survivre pour être satisfaite. Bon courage ! IG
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